Les Palais du côté impur – Zohar II – folio 244a à 269a.
Rabbi Siméon commença à parler ainsi : Il est dit : « Ils ont rompu, comme Adam, l’Alliance et dans ce lieu ils ont violé mes ordres » O Adam ! Qui ôtera la terre de tes yeux pour t’éclairer ? Dieu t’a donné le seul commandement, et tu n’as pas pu l’observer, parce que tu étais déjà dégénéré à cause des séductions du mauvais serpent dont l’Écriture témoigne qu’il était fin et rusé ! Tu t’es laissé entraîner par lui et tu as causé ta mort et celle de toutes les générations issues de toi. Remarquez qu’il suffit de se laisser entraîner par le démon pendant une seule seconde pour être perdu. Remarquez en outre que David était toujours près de la source des eaux vivantes; et bien que, à la suite de l’exil, son coeur fût plein d’amertume, il ne s’est pas laissé séduire par le démon jusqu’au denier degré, ainsi qu’il est écrit : « Car je te jure par le seigneur et je te jure par ta vie qu’il n’y a aucun péché entre ma vie et ma mort ». Heureux le sort de celui qui sait se mettre à l’abri du « mauvais côté » et de tous les degrés qui en découlent ! Car l’esprit tentateur a plusieurs degrés : serpent tortueux, Satan, ange exterminateur, esprit tentateur. Il a aussi sept noms ! Satan, impur, ennemi, pierre qui fait trébucher, incirconcis, méchant, rusé. Ces sept noms correspondent aux sept palais du côté impur. Il y a également sept compartiments dans l’enfer, lieu de châtiment des coupables : puits, précipice, abîme, fosse bourbeuse, schéol, ombre de mort, terre inférieure. Nous avons déjà dit que, de même que le côté saint, le côté impur a ses sept palais. L’Écriture dit. : « Qui est l’homme qui pourra vivre sans voir la mort ? Qui retirera son âme de la puissance de l’enfer ? » Certes, tout homme qui vit en ce monde voit la mort à l’heure où il doit aller rendre compte de sa vie. Mais l’Écriture parle des sept palais du démon qui constituent les sept compartiments de l’enfer où les âmes des coupables reçoivent leur châtiment durant douze mois. Heureux le sort des justes qui évitent l’accointance avec le démon en ce monde pour éviter l’enfer dans l’autre monde !
Le premier palais de l’empire du démon est situé sur la limite où commence cet empire. I1 porte le nom de « Puits », car les parois de ce puits sont lisses, ne présentent aucune aspérité à laquelle l’homme jeté dedans puisse s’accrocher. Dans ce palais, il y a un chef appelé « Doumâ » qui fait le service en haut et en bas. Il saisit l’âme au moment où elle est repoussée du palais saint par le chef « Tahariël ». Au-dessous de Doumâ, il y a un autre chef qui marche à la tête de millions d’esprits ; il porte le nom de « Pathouth », car il es chargé de la mission de séduire les hommes par la vue des choses que l’on ne doit pas regarder, vue qui mène l’homme à la débauche, car ce sont les yeux qui servent d’entremetteurs à l’incontinence. Lorsque le corps subit sa peine dans la tombe, le chef mentionné lui crève les yeux qui ont servi au vice durant la vie. L’âme reçoit son châtiment dans ce palais appelé « puits », où se trouvent de nombreux serpents et scorpions qui mordent 263b l’âme et la font souffrir. Dans l’intérieur du palais, il y a un esprit impur qui est le chef de tous les autres ; il s’appelle « Gamghima ». Il est rouge comme une rose et a pour mission de faire le réquisitoire de l’homme dont la prière est repoussée du ciel. C’est pourquoi l’Écriture dit : « Et Satan vint aussi parmi eux. » Le mot « aussi » signifie : outre le grand chef précité. Au-dessus de ce mauvais esprit, sont les gardiens qui saisissent chaque parole inconvenante ou ordurière qui sort de la bouche de l’homme immédiatement avant la prononciation des paroles saintes. Malheur aux hommes qui agissent ainsi au détriment de la région sainte ! Les esprits impurs saisissent la parole ordurière et la mêlent à la parole sainte prononcée ensuite, pour souiller celle-ci également. Dans ce même palais, il y a un autre chef appelé « Saphasiria » qui est à la tête de nombreux gardiens. Il a pour mission de saisir tous les objets que l’homme, dans un mouvement de colère, jette par terre. Il porte ces objets au chef suprême de l’empire de Satan et lui dit : Voici l’offrande que nous apporte un tel. Une voix retentit alors dans tous les cieux criant : Malheur à un tel qui vient de se souiller en suivant le « dieu étranger » !
Le deuxième palais renferme plus de ténèbres que le premier et porte le nom de « précipice » ; il correspond au nom « impur » du démon, comme le premier palais appelé « puits » correspond au nom de Satan. Le palais a trois portes donnant sur trois directions. À la première porte, se tient un chef appelé « Astiriâ », ayant sous ses ordres plusieurs millions d’esprits. Il est chargé de châtier les coupables qui ont pratiqué l’onanisme. Ces coupables ne verront jamais le visage de la Schekhinah. Ces mauvais esprits mêmes qui ont excité le coupable à commettre ce crime, en saisissant l’âme après la mort, la souillent et la châtient ensuite. Les mauvais esprits chargés de cette mission portent le nom de « sperme bouillant ». 264a À la seconde porte se tient un chef appelé « Tasqiphâ ». Il et chargé de châtier les coupables qui ont commis des crimes de fornication ou d’inceste, soit par leur commerce avec des animaux, soit avec de proches parents. Ce chef a sous ses ordres des millions d’autres chefs. Il tient entre ses mains une coupe amère qu’il fait boire aux coupables. Cependant, les coupables de ce crime qui ont déjà expié sur la terre par une condamnation à mort à cause du même crime, ne boivent plus de cette coupe, puisqu’ils on déjà expié par leur mort. Dans ce palais se trouve un esprit appelé « Niatziriël » qui laisse tomber trois gouttes dans la « coupe amère ». Ces trois gouttes sont appelées « Hatzatz », « amertume de la mort » et « Qobaath ». Elles sont suspendues à l’épée qui tue les hommes. À la troisième porte, se tient un chef appelé « Syngadiël » ; il est chargé de châtier les coupables qui ont commis l’adultère. Tous les esprits sous les ordres de ce chef prennent la forme des femmes avec lesquelles le coupable commit l’adultère. Dans ce palais, sont également châtiés les magiciens qui, par leurs actes, causent la mort prématurée des hommes, tel que Balaam qui avait coutume de commettre la fornication avec des animaux avant de procéder à ses pratiques magiques. C’est pour cette raison que Balaam subit la peine dans du sperme bouillant. Dans ce même palais se trouvent deux autres esprits qui se déguisent tantôt en homme, tantôt en femme, et parcourent le monde durant la nuit en apparaissant aux hommes sous la forme de belles femmes, et aux femmes sous l’aspect de beaux hommes. Ils portent le nom de « fléaux ». Heureux les justes qui sont à l’abri de ces esprits auxquels font allusion les paroles de l’Écriture : « … Afin qu’elle nous défende de la femme étrangère, etc. »
264b Le troisième palais est celui où les ténèbres règnent avec la plus grande intensité. Il porte le nom de « Doumâ », correspondant au nom « ennemi » que porte Satan. Ce palais a quatre portes donnant sur les quatre directions. À la première porte se tient un chef appelé « Saqaphortia » ; il est chargé, lorsque la rigueur sévit dans le monde, d’attaquer les promeneurs isolés dans la rue. À la deuxième porte, se tient un chef appelé « Sanagdiel » qui a sous ses ordres de nombreux gardiens. Il a pour mission d’y apporter les actes où sont décrétés les châtiments des coupables. À la troisième porte se tient un chef appelé « Onghariou » ; il est chargé d’apporter dans le monde toutes sortes de maladies et de malheurs. Il est à la tête de plusieurs millions d’autres chefs. À la quatrième porte se tient un esprit tombé lors de la diminution de la lumière de la lune. Il porte le nom d’ « Ascara » et est chargé de tuer les petits enfants. Il commence par sourire aux petits enfants, telle une mère caressant son enfant lorsqu’elle l’allaite ; et ensuite il les tue. Au milieu de ce palais, il y a un autre esprit appelé « Ahghirison », chargé de tuer les enfants à partir de treize ans jusqu’à l’âge de vingt ans, ainsi que cela a été déjà dit précédemment. Dans ce palais sont également châtiés ceux qui se rient des paroles de l’Écriture ou des paroles des maîtres de la Loi. Au-dessus des chefs mentionnés, il y a un esprit appelé « Sacasica » et chargé de châtier les hommes de mauvaise langue, vice qui cause la mort, qui provoque les guerres et qui donne lieu à tant de meurtres dans le monde. 265a Malheur à ceux qui, par leur médisance, mettent en mouvement ces mauvais esprits ! Remarquez que, dès qu’un homme médit ici-bas, le serpent tortueux couvre son corps d’écailles ; et, à partir de ce moment, lui et toutes ses légions se meuvent dans le palais cité. L’habit d’écailles, dont le serpent tortueux se couvre à l’occasion des grandes solennités, est composé de médisances; chaque médisance se transforme en une écaille. Bien que les serpents ici-bas aient une époque déterminée où ils changent de peau, ceci n’a généralement lieu que toutes les fois que la médisance est si répandue dans le monde que Satan s’en confectionne un nouvel habit.
Le quatrième palais porte le nom de « culpabilité » et correspond au nom de « pierre qui fait trébucher », que porte Satan. C’est dans ce palais que sont cueillies toutes les mauvaises actions de l’homme, l’opposé du quatrième palais de l’empire saint où sont cueillies les bonnes actions. Au premier jour de l’an, l’homme est inscrit dans le livre de vie, si ses actions sont déposées dans le quatrième palais de l’empire saint, où 265b il est inscrit dans le livre de mort, si ses actions sont cueillies dans le quatrième palais de l’empire du démon. C’est en vain qu’un tel homme adresse des prières au ciel ; elles ne seront pas exaucées. C’est également dans ce palais que résident les esprits ayant pour mission d’entraîner les hommes aux plaisirs et de les exciter à courir derrière les belles femmes. Ces esprits souillent l’homme dans ce monde et en souillent l’âme dans l’autre monde. Ils portent le nom d’ « immondices chauffées ». Dans ce palais, il y a aussi un esprit appelé « fléau ». Il est chargé de châtier ceux qui méprisent le Sabbat et ne l’honorent pas par des repas exceptionnels. 266a Il y a un autre esprit impur appelé « Ariria » qui est la tête de plusieurs millions d’esprits, lesquels portent le nom de « ceux qui maudissent le jour ». Ils sont chargés de châtier l’homme qui, dans un moment de colère, profère des formules d’imprécation contre lui-même. Ils châtient également ceux qui, en guise de serment, prononcent des imprécations contre leur propre personne. Un tel agissement réveille le serpent tortueux, appelé « Léviathan », et l’incite à détruire le monde. C’est pour cette raison que Job n’a pas proféré d’imprécations contre lui-même, mais contre le jour qui l’a vu naître. Que Dieu nous préserve de cela !
Le cinquième palais porte le nom de « Schéol » et correspond au nom « incirconcis » de Satan. À la porte de ce palais se tient un esprit appelé « haine ». Ce palais est le séjour de tous les esprits impurs qui tuent les hommes par l’épée et les poignards. Ces esprits apportent également la famine dans le monde. 266b Au milieu de ce palais, se tient un esprit appelé « Aphrira ». Il est chargé d’arroser la terre d’amertume toutes les fois qu’un homme commet un péché. C’est pour cette raison qu’à la femme soupçonnée d’adultère on donnait à boire de l’eau dans laquelle on trempait de la terre. Cette eau portait le nom d’ « eau amère », parce que, en cas de culpabilité, la femme goûtait l’amertume que le démon jeta au moment de l’adultère sur la terre.
Le sixième palais est supérieur à tous les autres. Il y a quatre portes dont les noms sont : mort, mal, ombre de mort, ténèbres. Le plus grand mal sort de ce palais C’est ici que sont châtiés les hommes qui se sont rendus coupables par des baisers et des plaisirs illicites. 267a Dans ce palais il y a un chef qui commande à tous les autres. Ce palais est orné plus que tous les autres ; et c’est à cette beauté chimérique et fallacieuse que se laissent prendre les insensés. Tous les plaisirs de la chair y sont exposés entourés d’ornements. C’est la prostituée dont parle l’Écriture, qui saisit l’homme, le séduit et le couvre de ses baisers. C’est dans ce palais que sont châtiés ceux qui ont donné et reçu le mauvais baiser, qui leur paraissaient doux pour un moment, mais qui sont payés chèrement ensuite. Lorsque l’homme, séduit par cette prostituée, approche de sa fin, le démon lui apparaît sous la forme d’un corps de feu tenant entre ses mains une épée à laquelle sont suspendues trois gouttes amères. Lorsque la première goutte tombe dans la bouche de l’homme, elle descend dans les entrailles et s’étend dans tout le corps. L’âme se trouble et se met en mouvement. La deuxième goutte provoque la sortie de l’âme et la mort du corps. Enfin, la troisième goutte provoque la décomposition du corps. Dans ce même palais, il y a un autre esprit appelé « Saqatoupha » chargé de châtier les infatués d’eux-mêmes qui se parent et se frisent les cheveux en se regardant dans la glace. Dès qu’un homme se regarde dans la glace pour se parer et se friser les cheveux, il réveille un autre esprit appelé « Assirata » qui donne naissance à tous les esprits qui induisent les hommes en erreur en leur faisant voir en songe des choses mensongères. 267b L’homme qui regarde souvent dans la glace réveille l’esprit mentionné, lequel lui amène « Lilith », la mère des démons. Comme le fait de se regarder dans la glace a l’orgueil pour mobile, « Lilith », qui aime les orgueilleux, exige de cet homme qu’il ait du commerce avec elle durant le sommeil, ou elle le tue.
Le septième palais est le séjour du vin enivrant, ainsi qu’il est écrit : « Et il but du vin, s’enivra et fut découvert ». Nul ne peut boire de ce vin sans s’attirer la mort. C’est du vin de ce palais qu’Eve fit goûter à son époux, et elle lui attira la mort, ainsi qu’à toutes les générations futures. C’est dans ce palais que sont châtiés les coupables qui 268a, entraînés par l’esprit tentateur, se sont adonnés à la débauche et ont donné naissance à des enfants bâtards. C’est de ce palais que sort un feu puissant destiné au châtiment des coupables. Dans ce palais, il y quatre portes par lesquelles pénètre faiblement la lumière de l’empire saint, destinée aux païens qui n’ont jamais fait de tort à Israël et qui l’ont traité avec justice et loyauté. Ce sont ces païens qui sont placés à côté de ces portes. Il y également dans ce palais des fenêtres qui ouvrent sur l’empire de la lumière sainte. Près de ces fenêtres sont assis les rois des peuples païens qui n’ont jamais opprimé Israël et qui l’ont toujours protégé. C’est Israël qui leur vaut cette faveur de jouir d’un peu de lumière dans leur résidence couverte de ténèbres. Quant aux rois des peuples païens qui ont opprimé Israël, ils sont châtiés trois fois par jour, chacun selon la gravité de son cas.
Tels sont les sept palais du côté impur, du côté du serpent. Heureux le sort de celui qui s’est toujours tenu à l’écart du serpent, afin d’en éviter la morsure et le venin mortel ! 268b Pour se tenir sur ses gardes, il faut observer le serpent de tous les côtés ; car, en observant sa tête, on n’est pas encore à l’abri de sa queue; il baisse parfois la tête, mais relève la queue et tue. Cependant, il ne peut rien faire tant que l’homme ne se rend pas coupable devant Dieu. Rabbi Eliézer étant un jour assis devant Rabbi Siméon demanda à celui-ci : Est-ce que le démon avait sa part dans les holocaustes qu’Israël offrait sur l’autel, ou non ? Rabbi Siméon lui répondit : Avant d’offrir le sacrifice, l’homme était tenu de confesser tous ses péchés, en actes ou en pensées ; et ce sont ces péchés qui étaient la part d’Azazel. La fumée, la graisse et les entrailles des sacrifices étaient également la part du démon qu’Israël lui jetait, afin de n’en être point troublé. Rabbi Siméon dit : Je lève mes mains, en signe de prière, vers le ciel. Lorsque la volonté suprême planait en haut, en haut, de manière inconnue et à jamais inconcevable, la Tête mystérieuse projeta une telle lumière qu’elle aussi était mystérieuse. C’était une « pensée de lumière ». Un rideau fut tiré, à travers lequel la lumière commença déjà à se dessiner, 269a mais très faiblement. D’autres rideaux furent tirés ensuite, et ainsi furent formés les neuf palais célestes. Ces palais ne sont pas des lumières ; ce ne sont pas des esprits ; ce ne sont pas des âmes ; ce ne sont pas des formes saisissables. Tous les palais sont la Pensée vue à travers différents rideaux. Ôtez la Pensée, et tous les Palais s’écroulent. Tous les mystères de la foi consistent dans cette doctrine, d’après laquelle tout ce qui existe en haut et en bas est la lumière de la Pensée; c’est l’Infini. Enlevez un rideau, et toute la matière apparaît immatérielle ; enlevez encore un autre rideau, et le monde immatériel d’en haut apparaît encore plus spirituel et plus sublime, et ainsi de suite. Le sacrifice offert sur l’autel, la fumée qu’il produisait et tout ce qui servait à sa consumation n’était que Pensée vue à travers la matière. Heureux le sort des justes qui voient en tout la Pensée ! Heureux leur sort en ce monde et dans le monde futur !
Remarquez que, tous les premiers du mois, on accordait au démon, appelé « fin de toute chair », sa part des sacrifices, afin de l’occuper. Tel était le mystère du bouc émissaire, image du démon; car Esaü aussi était un homme velu semblable à un bouc. Le démon est appelé « fin de toute chair », parce qu’il n’aspire qu’à la chair. Lorsqu’il a asservi le corps, il ne s’empare que de celui-ci, tandis que l’âme retourne à sa place. « Et la nuée couvrait le Tabernacle ». Quand la Shekhinah résidait en Terre Sainte, l’esprit impur prit la fuite et alla se cacher dans l’abîme; et l’Esprit Saint se répandit dans le monde; c’était la nuée qui couvrait le Tabernacle. Les péchés des coupables l’attirèrent de nouveau dans le monde. Mais, dans les temps futurs, Dieu le fera disparaître du monde, ainsi qu’il est écrit : « Il précipitera la mort pour jamais; et le Seigneur Dieu séchera les larmes de tous les yeux; et il effacera de dessus la terre l’opprobre de son peuple; car c’est le Seigneur qui a parlé ». Et ailleurs : « Et je ferai disparaître l’esprit impur de dessus la terre ». « Béni soit le Seigneur en toute éternité ».
Les Palais du côté impur – Zohar II – folio 244a à 269a